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MamZelFrog

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25 juin 2011

On oublis, on essaye

Un amour gaché, anachevé, bafoué, c'est difficile d'en faire le deuil. J'ai de grandes difficultés à tourner la page. Mais je m'y efforce, me force. Elle me manque, j'ai envie de savoir ce qu'elle fait, l'encourager, la voir. D'autant plus que je l'ai vu il y à moins de 48h. Donc l'envie est d'autant plus forte. J'ai pleuré en me réveillant hier matin, la boule est restée dans ma gorge plusieurs heures durant. J'aurais voulu pleurer plus. Mon subconscient est un connard car il me fait pleurer à cause d'un rêve débile, mais mon conscient n'est pas mieux vu qu'il m'empêche de pleurer pour les raisons qui me touchent et ainsi permettre de me soulager. On me dit que je suis prête, mais la voir m'a permis de savoir que non. J'aimerai l'être ... Mais je l'aime encore. Elle m'a marqué, au corps, au coeur... Mais je m'attache à faire en sorte d'y penser le moins possible, à sortir, m'évader, faire des rencontres qui ne me la rappelle pas. Les folies des uns me rappellent les siennes, les conversations des autres me rappellent la facilité que nous avions à discuter. La Loire me rappelle nos promenades. J'aimerai qu'elle puisse faire partie de ma vie, autrement, mais c'est trop tôt. "Je me coucherai sur la lune, Et je te regarderai d'en haut, Et s'il a de la brume je m'acheterai carreaux, Et je t'enverrai des pleurs pour ton anniversaire, C'est plus beau que des fleurs, Et ça coute moins cher, J'irai m'faire voir ailleurs"
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29 janvier 2011

Qui est gagnant ?

En psychologie, l'amour-propre désigne l'appréciation subjective, généralement positive, qu'une personne porte sur elle-même. 

L'amour désigne un sentiment d'affection et d'attachement envers un être ou une chose, qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité, pouvant être physique, spirituelle ou même imaginaire, avec l'objet de cet amour, et à adopter un comportement particulier (plus ou moins rationnel) en conséquence.

Une victoire (du latin victoria : victoire guerrière) est le fait de « gagner une bataille, réelle ou symbolique contre l'adversité.»

C'est quoi qui prime chez moi  ? L'amour propre ! Forcement, je m'aime bien trop (connerie va, c'est même pas vrai, tu veux juste ne pas montrer tes sentiments !), je suis pleine de colère, contre moi, j'ai préféré, je préfère me mordre la joue plutôt que de paraitre triste alors je parais dure, excessivement dure. 

Voilà un belle preuve d'amour propre (et de connerie par la même occasion) = Preuve n° 1

[...]

J'ai ce sujet dans ma besace depuis plusieurs mois déjà, sur lequel j'ai écris et raturer à plusieurs reprise, ne trouvant rien de concluant à mon goût.
Vous l'aurez compris je nommerai vainqueur l'amour propre. 

Même si pour ma part, j'ai souvent laissé l'amour propre prendre toute la place. Je suis pourtant parti à chaque fois, en aimant toujours. 

Une prise de recul nécessaire, sur les mois et les années écoulées, implique de se prendre quelques claques (pour certaines d'entre elles j'y reviendrais dans un autre billet, j'attend d'en faire le tour

Mais parfois ce sont des faits se révélant à nous, qui nous révèle, on se montre à soi-même et on regarde à l'intérieure (même si c'est pas toujours joli) :
Là, la giffle laisse un grosse trace, et c'est une preuve de plus que l'amour propre gagne .

Je l'ai quittée, alors pourquoi ne pas être satisfaite qu'elle refasse sa vie. J'ai bien fait "semblant de", moi (j'y reviendrais plus tard j'ai dit).
Alors comment de pas être en accord avec le fait que de son coté elle ne fasse pas autrement que de passer à autre chose ? 
La réponse simple et honnête est : Bah parce que c'est pas avec moi (égoïste, va) = Pr
euve n° 2

Pourtant je sais pertinemment que ce n'est pas possible. Non pas parce qu'elle refait sa vie ou que je ne l'aime plus (vu que je l'aime encore), mais parce que j'aurais voulu que ce soit moi. Pourtant mon bien être compte plus encore = Preuve n° 3

Donc en résumé, l'amour fais mal, mais parfois c'est aussi à cause de l'amour propre qu'on souffre.


 

25 janvier 2011

J'ai retrouvé une lettre

Une lettre d'amour pour Elle. Une lettre aimante, elle lettre pleine de manques et de peurs, pleine de peur de la perdre et pourtant c'est moi qui suit partie. Elle ne l'a jamais reçu bien sur vu qu'elle est là ...

Mon Ange,
Tu souhaites une lettre pour te dire/montrer
/expliquer et peut être même prouver ce que je ressens/vie pour toi.
Alors même si maintenant tu y accorderas peut être moins d'importance, vu qu'elle vient suite à ce souhait.
Je m'exécute.
A t'entendre, je suis La femme de ta vie. Et tu veux savoir si c'est partagé. Y répondre me fait excessivement peur. Pourquoi ? Que sais-je. Peut être te désintéresseras-tu de moi si tu le sais. Aussi y répondre voudrais dire que je me met en danger. Car il est vrai que ma plus grande peur est de perdre.
Je te parle peu de moi aussi pour ça. Car moi je vois, par ce que tu as bien voulu me montrer de toi que nous sommes très différentes. Et peut être qu'à un moment tu voudras quelqu'un auprès de toi qui te ressemble plus.
Pourtant malgré mes peurs, toujours présente en moi j'en veux plus. Plus de temps, plus de rire, de partage, d'apprentissage de toi, de moi, plus de discussions, plus de vie. Alors oui je veux vraiment être auprès de toi le plus de temps possible, tout ce temps que tu me permettras de vivre auprès et avec toi.
Je t'aime bien plus que tu ne le penses toi aussi. Ma sœur peut bien dire ce qu'elle veut (d'ailleurs saches qu'elle ne pense plus ce qu'elle a dit) et puis de toute façon ce n'est pas un concours que nous faisons.
Il m'est difficile de te parler de ce que je ressens pour toi. Cela parce que j'ai l'impression que tu ne prends pas en compte ce que je peux dire.
J'ai moi aussi vécu d'autres histoires plus longue avant toi. Mais en fait c'était tellement différent, je n'y était tellement pas moi. Et avec toi c'est tout le contraire. Je suis moi et c'est bien et effrayant à la fois.
J'ai si peur de ne pas convenir, je ne peux pourtant être autrement.
J'ai si peur que tu fasses le chemin contraire que celui parcouru jusqu'ici.
Et quand par exemple tu me dis des phrases comme ce soir : "T'aurais pas appelé, je me serais dis célibataire" ces peurs me sautent au visage. Alors même si c'est sur le ton de l'ironie. Je ne peux m'empêcher de me dire que tu pourrais réellement le penser.
Ce n'est pas une reproche que je te fais. Tu as un humour si particulier, mais il t'est si souvent de fois arrivé de vouloir fuir, de vouloir en finir avec moi. Que je n'ai pu faire autrement que de me protéger et cloitrer mes sentiments qui ne cessent d'augmenter à ton égard.
Alors je te l'accorde c'est dans ces moments de fuite en avant que je t'ai dis ce que je ressentais pour toi. Et j'aimerai que ça s'arrête, qu'il n'y ai plus ces moments de fuite pour que mon cœur s'ouvre à toi et qu'il se montre, non pas pour te reconquérir ou te rassurer mais parce qu'il en a tout simplement envie.
JE T'AIME VRAIMENT. Tu peux me croire c'est bien plus fort que tu ne l'imagines, peut être même bien plus que je ne le sais moi même.
Je suis peut être trop pudique à ton goût sur mes sentiments. Il est vrai que je ne suis pas du genre à en parler tout le temps, ni à toi, ni aux autres. Mais il n'empêche que je t'aime pour toi et tous les moments que je partage avec toi et pour tout ce que tu as bien voulu me montrer de toi.
Je n'ai pas peur de cet amour que je te porte mais surtout du fait que cela puisse s'arrêter. Que tu m'interdises de t'aimer en sortant de ma vie.
Oui c'est dommage de ne pouvoir vivre cet amour sans peur mais tu ne me l'a pas encore permis.
Bientôt j'espère ...
[...]
Retrouver Tours sans toi, c'était pas une bonne idée. J'aime pas mon quotidien si je ne peux pas t'y voir. Déjà dans le train j'ai regretté et de ne pas être rentré plus tôt ou de rentrer trop tôt ensuite. Limite j'ai envie de m'enterrer sous ma couette jusqu'à ton retour.Je sais qu'il faut que je prenne sur moi. Surtout que je vais passer par des moments de manque bien plus dur dans un futur proche (trop proche) mais parfois j'en ai pas envie. Tu me manques.
[...]
J'essaye de te joindre IMPOSSIBLE. L'impression de te harceler en plus. Ça me saoule. J'aurais aimé entendre ta voix.
Tu me manques.
[...]
Tu voudrais me lire mais je n'ai pas fini d'écrire.

Je t'ai retrouvé, enfin !
Quel bonheur ! Nos cœurs à corps, tes gémissements, les miens. Ce que j'aime ces moments. Comme je t'aime.
Je suis rentrée chez moi, heureuse de tout ça et triste à la fois de t'avoir quitté.

J'ai hâte de passer un vrai moment avec toi. Quand je dis vrai je veux dire un moment sans contrainte, sans cours, ni travail. J'ai envie de vacances, de farniente avec toi. Un weekend comme celui de la Bretagne (sans la Bretagne). C'était tellement agréable de ne profiter que de toi, de nous.
Cela ne veut pas dire comme tu l'as supposé que je n'aime pas le quotidien avec toi (bien au contraire) c'est juste que j'ai envie d'un moment simple et fort avec toi.
Je t'aime mon Ange.
Peut être te ferais-je lire demain, je ne sais pas encore.
Tu dors là mais j'ai très envie de t'entendre, te toucher. Tu me manques déjà c'est dingue, non ?
Je ne pense qu'à toi tout le temps. Je t'envoie des milliers de baisers en pensé et t'en ferais autant demain.

Alors voilà, mon cœur s'est ouvert,il s'est décidé à lui montrer ce que je ressentais, il a tout donné, j'ai TOUT donné, et je n'ai rien reçu, même pas de quotidien, très peu de temps avec Elle. Cette lettre écrite sur plusieurs jours date de l'été 2009.

C'est loin maintenant... Comme le reste.

4 janvier 2011

J'ai peur de la suite ... J'ai peur du changement

J'ai peur de la suite ... J'ai peur du changement ... même si ce qui était, était difficile à vivre, le changement est une zone d'inconfort. J'ai peur de ce qui va advenir ...
J'suis pas soulagée ... J'suis pas mieux dans ma peau, j'suis pas moins bien non plus.
Le deuil est en parti fait, du fait de tout ce qui s'est produit jusque là, ou plutôt de ce qui ne s'est pas produit.
Je pleure même pas, j'ai trop pleuré...
J'suis désolée, j'suis triste
J'l'aime encore, j'sais plus pourquoi, j'sais plus comment ...
Presque trois ans de vie non commune ... et pas commune ...
J'ai pas forcément de regret, parce que j'ai attendu, j'en ai pas même... J'ai laissé le temps ... les choses .. se faire.
Peut être trop ... peut être pas assez, qui sait ? J'en sais rien.
J'aurais voulu pleurer ... j'aurais voulu être soulagée.
J'aurais peut être voulu répondre à ce baiser, mais à quelle fin ? Pour quelle suite ? Pour quelle finalité ? Une fin y'en a une là maintenant.
Je me un point ... sans le mettre vraiment ...
Parce que ... si en effet, elle faisait tout, tout et plus, parce qu'il faudrait plus, c'est sûr, sincèrement pourquoi pas ?
Si je me sentais de nouveau aimé ...
Aimé, comme on me le doit, à ma valeur, j'dis pas que j'suis exceptionnelle, loin d'là. Non pas qu'on me le doivent, j'le mérite pas plus qu'une autre, mais j'le mérite... je méritais bien plus, bien plus.
...
Je sais pas ce qui va en découdre, je sais juste que là, tout de suite ... alors que nous n'étions plus un couple depuis plus d'un an, les choses sont dites, nous ne sommes plus un couple.
C'est acté.

18 mars 2010

Suis je bizarre ?

C'est étonnant comme je peux parfois restée calme et stoïque devant les mouvements, énervements, excitations de mon entourage. Il est vrai que je ne suis pas du genre à péter un câble. Pourtant il m'arrive de perdre patience, mais là non.
C'est tellement énorme, tellement bluffant que j'hallucine. J'ai l'impression que le monde tourne devant moi et je ne peux même pas m'y faire happer.
Je suis perdue, tellement désorientée, je ne sais plus ou aller et quoi faire.

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16 mars 2010

Qu'est ce que tu préfères ?

Non je vais pas me la jouer à Depalmade genre qu'est ce que tu préfères entre des bras de 9 mètres ou une dizaine de canard qui te suive partout.
Je vais faire plus primordial.
Qu'est ce que tu préfères en entre vivre une vie saine et respectable ou une vie de tristesse qui en gros ne te mènera pas loin ? Et bien normalement on devrait répondre le premier choix.
Et bien moi là je suis coincée, car même si je devrais moi aussi répondre le premier choix et bien je ne sais plus. C'est très con me direz vous. Et pourtant je suis loin d'être une idiote, je ne me vente pas là. Juste je sais que je ne suis pas une idiote, je suis réfléchie, posée, et tout ça.
J'ai voulu, et oui j'aurais voulu LA sauver, lui faire du bien et qu'elle me le rende à un moment sauf que je vois que tout ce que j'ai pensé, réfléchie, n'étais qu'un leurre.
Et là je devrais faire le choix de partir de laisser sa vie suivre son chemin, mais quelque chose me dit que c'est peut être possible, infime mais possible. Mais je sais là encore que c'est me mentir. Je suis une idiote, naïve, a qui Elle fait avaler des couleuvres, sous quel prétexte, aucun en fait.
"Regardes Merde", "Vois que ce n'est que du vent", "Tout ce que tu as cru est faux"
Ma tête me parle, mes amis me parlent, ma famille ne comprend pas, et moi je me mens.
Pourquoi ? Je n'en sais rien, il n'y a maintenant plus de but autre que celui de l'honnêteté que je n'aurais certainement pas.

18 février 2010

...

T'apprends, pis tu marches encore, t'as pas le choix, forcément. C'est juste de la pluie, tu finis par passer en-dessous sans trop te mouiller. C'est juste de la boue, ça part sous la douche, c'est comme les larmes, le goût finit par partir. Les boules dans le ventre, elles ne seront pas toujours là.

18 novembre 2009

Par quoi commencer ?

J'ai très envie de lire, très, mais j'ai déjà un livre en cours et celui ci j'en peux plus. Mais faut tout de même que je le termine. Je ne peux décemment pas en commencer un autre en même temps. Je sais que ça voudrais dire en finir avec le premier. Je ne sais être infidèle même dans la lecture.
Et oui la lecture à pour moi beaucoup d'importance mais cela passe par tellement d'instant, d'envies diverses. J'aimerai pouvoir lire à vitesse grand V pour en finir vite et passer au suivant. Mais en même temps j'aime tellement parfois relire certains passages, reprendre des chapitres.
En ce moment j'ai "le feu follet" de Pierre Drieu de la Rochelle sur le feu justement, mais je viens de faire un tour dans la bibliothèque de ma soeur et comme à l'habitude j'y trouve des choses très interressante : des nouvelles d'Anna Gavalda, d'autres de Fredéric Beigbeder (que j'adore au plus haut point), et "Zazie dans le métro" de Raymond Queneau. Je crois qu'il vont tous partir dans ma besace. Dommage les vacances sont bientôt finis ! J'aurais moins le temps de lire. Toutefois cela occupera mes pauses clopes sans clope, vu que je ne fume plus !

13 novembre 2009

Tient ça fait un bail !!

Voilà plus d'un an que je n'ai écris ici, la raison ? Y'en a pas particulièrement.
Pas grand chose à dire ? Non même pas. Pas l'envie ? Non plus. Pas le temps ? encore moins, c'est pas comme si cela me prenais des heures.
Pourquoi aujourd'hui j'écris ? Comme ça, ça fait plusieurs jours que j'y pense que je cherche un truc à dire. Mais en même temps je ne suis une grande oratrice, ni une grande écrivain. Et ça tout le monde le sais, y'a qu'à voir ...
Enfin en ce moment je vais bien, je suis même en vacances et je me repose bien, ça fait du bien (beaucoup de bien dis donc).
Des mouvements dans ma vies, oui quelques uns, mais pas énormes :
La clope déjà : Ralentissement pour un stop prochain.
Le travail : Depuis un an les choses ont changées un peu, je suis toujours dans la même entreprise de télécommunication, mais mon poste a un peu changé. J'attends plus de changement encore, je commence un bilan sur mes compétences pour un éventuel changement de plus grande envergure, enfin on verra dans quelques mois.
Les amours, ou plutôt l'Amour : Toujours le même, enfin toujours LA même et je ne compte pas changer bien au contraire, je suis folle d'Elle. Même si parfois c'est difficile, mais je crois que ça fait partis du jeu.
La famille, houla, c'est le bordel, les parents redeviennent enfants à un moment donné et bien c'est maintenant, mais je ne veux pas m'en mêler ! A eux de prendre leurs responsabilités, ça m'a beaucoup énervé à un moment mais maintenant c'est fini. Faudrait tout de même que je prenne de leurs nouvelles quand même, mais plus tard.
La vie en général : Ca va, je me sens bien dans ma peau, je me trouve jolie, et j'ai confiance en moi.
Je n'irai pas jusqu'à me noyer dans mon reflet mais vraiment en ce moment je me sens bien (tiens encore un !) dans mes pompes, c'est particulier comme sentiment, en tout cas pour moi. Ca fait vraiment du bien (et bien, lol).
Je me sens adulte, j'ai des envies d'adulte. Il était temps à presque 28ans, mais c'est vrai. Envie de m'habiller comme une femme avec talons et tout, de déguster du vin et non de me saouler la gueule pour aller danser, d'aller au restaurant, de voyager même pas loin ou même juste en lecture, de me ballader le dimanche après midi et non de légumer sur le canapé.
J'ai grandit certainement.




29 octobre 2008

Dent de scies

C'est trop chelou la vie, ou peut être juste ma vie. Mais c'est bizarre quand même que des fois ça aille des fois ça aille pas. Et pourtant je suis pas du genre lunatique. Je suis une optimiste du genre naïve parfois on pourrait dire. Ca fait le Yoyo dans ma tête, j'aime ce que je vie, j'aime ma vie et la vie. Je suis même très heureuse! Mais là ce soir, toute cette journée j'étais toute morose, toute ... bizarre. Comme molle, morne. Et en fait au fond je sais même pas trop pourquoi, et je crois bien que c'est ça le problème en fait. C'est soulant de sentir en soit un truc qui cloche, qui tourne pas rond ou sonne creu, et de pas en connaître la raison profondre. Enfin c'est peut être juste aujourd'hui, je me suis réveillée bien ce matin la journée était toute speed, toute "bizarre" (je sais j'me répète) et dans l'après midi j'avais super envie qu'on soit arrivé au lendemain. Donc voilà je vais aller dormir et demain arrivera avec mon sourire retrouver et ma bonne humeur habituelle. J'ai hâte !

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